Les rêveries nostalgiques d’une génération passée

Dans cette société individualiste et égoïste, une chose importante a été oubliée.

Une chose que Walt Disney a matérialisé dans ses œuvres connues et reconnues.

La sincérité dans le regard, le sourire sensible, l’air touchant, les scènes d’une mémorables beauté, les dialogues et les chansons. Des messages sont également passées.

Pour lui, aller au bout de ses rêves et les réaliser était essentiel, y croire encore et espérer toujours, la magie de l’existence capable de nous enchanter, les mélodies qui nous transportent et nous emportent plus loin qu’on ne l’aurait pensé.

S’il avait rencontré Jean de La Fontaine, quelle relation serait née entre les deux hommes ? Certainement une complémentarité et une complicité à n’en pas douter.

La moyenne d’âge pour avoir son premier enfant est de 31 ans, quelle tristesse !

Et que lisent-ils? Que regardent-ils à la télévision?

Les Tintin et Milou, Astérix et Obélix, Mickey, Donald, sont-ils encore dans leurs centres d’intérêt ? Les temps ont changé.

Les enfants méritent ce qu’il y a de mieux pour grandir et évoluer, s’épanouir, dans les meilleures conditions possibles. Ils ont besoin de rêver et de s’évader, d’apprendre et d’expérimenter.

Martine, les Claudine, voilà qui a inspiré une génération de jeunes filles tout comme la trilogie Sissi, Les Jeunes Années d’une Reine et bien d’autres films de Romy Schneider, La Belle et l’Empereur. Ses autres films sont destinés à un public plus adultes comme La Passante du Sans-Souci, son dernier film en lien avec l’actualité puisque les 80 ans d’Auschwitz sont tristement remémorés et l’histoire de ce film est dans cette période de guerre.

Tant d’auteurs de livres et de cinéma ont voulu inspirer, faire rêver, évader, réfléchir. Les œuvres de Jules Vernes, rêves de voyages et d’avenir.

Permettez-moi de proposer un sondage :

  • Que regardent les jeunes à la télévision et à partir de quel âge ont-ils accès aux écrans?
  • Que lisent-ils?
  • Quelles personnalités les inspirent?
  • A quoi rêvent-ils au quotidien?
  • Qu’est-ce qui leur permettent de s’évader?
  • Quelle éducation leur est-il donnée?
  • Sont-ils toujours intéressé par les œuvres que j’ai mentionné?
  • Apprennent-ils toujours les Fables de La Fontaine à l’école?
  • Quelle est la qualité de leur expression orale et écrite comparée à celle de leurs aînés?
  • Quelle est selon vous, la mentalité actuelle? Que déplorez-vous et qu’encouragez-vous?

Vos réponses m’aideront à savoir ce qui a changé aujourd’hui et ce que sont devenues les générations actuelles. Je les rassemblerai dans un article et vous pouvez, bien entendu, garder l’anonymat. Merci d’avance pour votre participation !

6 réponses à « Les rêveries nostalgiques d’une génération passée »

  1. Bonjour Charlotte, ce ne sont pas des petites questions auxquelles ont peut répondre en 3 lignes, je vais essayer de vous envoyer un e-mail dans la journée.

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    1. Merci d’avance pour votre participation

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  2. Je suis mal placé à répondre au sondage entier, vu que je grandis une fille qui n’aura jamais eu accès à Astérix ou Tintin ou La Fontaine parce que tout s’est déroulé en anglais avant ses 14 ans. Mais je dirais que Mickey, au moins, s’adapte encore et encore aux nouvelles générations — La Maison de Mickey est arrivée dans les années 00, et Mickey et ses amis : Top Départ, à la fin de cette décennie. Peut-être la meilleure émission que j’ai vue pour les enfants, Miraculous, vient de fêter ses 10 ans, et sa 6e saison vient de commencer.

    Je me considère chanceux que ma fille ne s’intéresse pas à Taylor Swift ou Justin Bieber, mais la plupart de sa génération, dont pas mal de ses amies, est bien influencée par ces gens et leur espèce.

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    1. Comme je vous comprends ! Et peut être entendez-vous parfois ce que les gens écoutent ces derniers temps…
      Je n’ai cité que des exemples. Que regardait-elles et que lisait-elle ? À quoi avait-elle accès ?

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      1. Pour la part de ma fille, j’étais très soucieux de limiter ses premières influences. Pendant ses 3 premières années, je ne lui permettais que PBS Sprout à la télé, à l’époque une chaîne opérée par le gouvernement en partenariat avec une entreprise privée, avec des programmes éducatifs ou pas trop liés aux jouets, comme de vieux épisodes de Thomas et ses amis. (Plus tard, la chaîne est devenue toute privée.) Une fois atteint de ses 4 ans, c’était tout Disney — La Maison de Mickey, Princesse Sofia, Jake et les Pirates du Pays imaginaire. La qualité de ce que Disney Junior sortait entre 2007 et 2017, c’était incroyable. Il y avait plein de jouets qui allaient avec, mais les messages étaient très similaires de ce que l’on trouverait chez La Fontaine ou bien Ésope. Depuis 2017, j’ai un avis moins élevé de la qualité des programmes pour enfants de chez Disney. Mais JAMAIS RIEN chez Nickelodeon, et je ne le regrette pas du tout — ma fille ne connaissait pas Bob l’Éponge ni Pat’Patrouille sauf des sacs à dos de ses copains de classe.

        Côté livres, très jeune on lisait des classiques tels que La Chenille qui fait des trous ou Strega Nona (pas disponible en français pour autant que je puisse trouver). À la primaire, elle lisait beaucoup de livres d’une série britannique sur des fées, Rainbow Magic (sortie en France sous le nom L’Arc-en-ciel magique). C’était TRÈS répétitif, mais de bon caractère. Je lui donnais aussi des livres abrégés de Sherlock Holmes et les contes du roi Arthur. Je la permettais de faire ses propres choix, mais en général de sélections que j’avais déjà testées moi-même.

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      2. Merci pour vos réponses, c’est gentil d’avoir participé au sondage. Je pense que quand j’aurai des enfants, je partagerai votre inquiétude : les mauvaises influences et fréquentations à leur éviter pour qu’ils puissent évoluer dans le bon sens.
        Je ne sais pas quel âge a votre fille aujourd’hui mais j’espère qu’elle fait votre fierté au delà de vos espérances.

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« Tous les arbres résonnent
Et tous les nids chantent
Qui donc tient la baguette
Dans le vert orchestre de la forêt?

Est-ce là-bas le vanneau gris,
Qui sans cesse hoche la tête, l’air important?
Ou est-ce le pédant qui tout là-bas
Lance toujours en rythme son coucou?

Est-ce cette cigogne qui, la mine sérieuse ,
Et comme si elle dirigeait,
Craquette avec sa longue jambe
Pendant que tous jouent leur musique?

Non, c’est dans mon propre cœur
Qu’est le chef d’orchestre de la forêt ,
Et je le sens qui bat la mesure,
Et je crois bien qu’il s’appelle Amour. », Heinrich Heine